Municipales 2026 : à Paris, Pierre-Yves Bournazel croit en son « moment »

Cette fois, il en est convaincu, sera la bonne. En 2014, Pierre-Yves Bournazel avait tenté sa chance aux élections municipales à Paris mais il avait été battu, lors de la primaire de son parti, l’Union pour un mouvement populaire (UMP, devenu Les Républicains, LR), par Nathalie Kosciusko-Morizet, laquelle n’était finalement pas parvenue à remporter la mairie. En 2020, il était reparti dans la course à l’Hôtel de Ville avant de rallier le camp d’Emmanuel Macron, derrière Benjamin Griveaux, remplacé en cours de campagne par Agnès Buzyn, et bientôt défaite elle aussi. , justifie Pierre-Yves Bournazel, cinq ans plus tard. Pour le prochain coup, en mars 2026, le conseiller de Paris, élu dans le 18e arrondissement depuis 2008, se veut plus déterminé que jamais :

à occuper l’espace entre des candidats de gauche issus de la majorité en place – , juge-t-il –, et la probable candidate de droite, Rachida Dati, cernée par les affaires, défaite en 2020 et animée, selon lui, que par un désir de . Sans oublier le sénateur LR de Paris Francis Szpiner, qui a déclaré sa candidature mais se fait discret depuis qu’il est visé par une enquête pour « corruption »., a promis Pierre-Yves Bournazel, sur la scène du Trianon, devant une salle comble, lors du lancement officiel de sa campagne, le 3 juin, en brandissant un maillot du Paris Saint-Germain floqué « Bournazel 2026 ».

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