Avant même que ne débutent les du président en vue de nommer un premier ministre, le prophétisait déjà, le 8 juillet dernier, que l’issue du scrutin législatif plongerait la France dans un . Face à une Assemblée fragmentée en trois blocs, dont aucun ne s’impose, le quotidien américain de référence doutait que les français réussissent à entre des partis aux points de vue
Près de deux mois – et aucune nomination – plus tard, cette prédiction se confirme aux yeux de la presse occidentale qui pointe la responsabilité du président français. En refusant d’accepter la défaite de son camp, et en poursuivant sa présidence jupitérienne alors que le résultat des législatives imposerait de changer de politique, Emmanuel Macron a rendu la France, estime-t-elle en cette rentrée.
constatait le fin août, déplorant l’absence d’une de ce côté-ci du Rhin. Et pour le quotidien conservateur allemand, cette » est d’abord à attribuer au président, qui au Nouveau Front populaire (NFP), pourtant arrivé en tête aux législatives,
En Belgique, où la recherche d’une coalition est , s’étonne d’ailleurs dans un éditorial : [Emmanuel Macron]
« Comme s’il n’y avait pas eu d’élection »
La logique parlementariste voudrait ainsi qu’Emmanuel Macron lâche prise et laisse au premier ministre le soin de créer, et de mener, sa coalition. Mais en s’obstinant à , le chef de l’Etat relève le depuis le Royaume-Uni. », abonde le quotidien espagnol , qui craint que cette en France ne laisse l’Union européenne sans leader, à l’heure où l’extrême droite allemande réalise une percée historique dans certaines régions.
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