La décision des Britanniques de quitter l’Union européenne (UE) est mais nous la , a déclaré, mardi 8 juillet, le président français, Emmanuel Macron, devant le Parlement britannique à l’occasion de la première visite d’Etat d’un dirigeant de l’UE au Royaume-Uni depuis le Brexit, en 2020.
Le chef de l’Etat français, qui s’exprimait en anglais devant les députés et les Lords, a affirmé . Il a aussi souligné que .
La France et le Royaume-Uni doivent pour issu de la seconde guerre mondiale, a également déclaré le président français à cette occasion. , a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron a également promis dans la lutte contre l’immigration clandestine au Royaume-Uni. Alors que plus de 21 000 personnes sont arrivées cette année sur les côtes britanniques en traversant la Manche depuis la France – un record historique sur cette période de l’année – le président français a souligné que cette immigration représentait un pour les deux pays.
, a-t-il dit. , a-t-il poursuivi, annonçant des lors du sommet franco-britannique de jeudi, qui selon lui (…).
« Marseillaise » et calèches royales
Le président français est arrivé mardi matin au Royaume-Uni, accompagné de son épouse, Brigitte, pour une visite d’Etat de trois jours. L’avion présidentiel s’est posé peu après 11 heures à la base militaire de Northolt, à l’ouest de Londres.
C’est et , a-t-il commenté sur X, appelant l’Europe et le Royaume-Uni à face aux mondiaux.
, a détaillé le chef d’Etat français. , a-t-il ajouté.
Le prince héritier, William, et son épouse, Kate, ont accueilli le couple français sur le tarmac, à la sortie de l’avion. Une haie d’honneur avait été déployée pour l’occasion. Le couple présidentiel a été aussitôt conduit au château de Windsor, à l’ouest de Londres, où il a rejoint le roi Charles III et la reine Camilla, près de deux ans après la visite d’Etat du couple royal en France. Après avoir écouté , tous ont pris place dans des calèches royales, qui ont remonté la rue principale de Windsor pavoisée de drapeaux britanniques et français, jusqu’au château, où résidera le couple présidentiel.
A l’occasion de cette visite, l’Elysée a annoncé que l’énergéticien public français EDF détiendra 12,5 % de la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l’est de l’Angleterre. Cette future centrale est un projet-clé pour la sécurité énergétique britannique. , dans laquelle l’entreprise publique française investira (1,3 milliard d’euros), a précisé l’Elysée dans un communiqué.
Le Monde avec AFP
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