Au procès des viols de Mazan, Vincent C. : « Je cherchais un plan cul. Je ne réfléchis pas dans ces moments-là »

Avant, Vincent C. était poseur de menuiserie, alcoolique, fumeur de joints, consommateur occasionnel de cocaïne et déjà condamné pour violences conjugales. Aujourd’hui, il a 43 ans et comparaît détenu devant la cour criminelle du Vaucluse au procès des viols de Mazan. Dans l’ordinateur de Dominique Pelicot, deux fichiers ont été ouverts à son nom, et .

Mercredi 9 octobre, Vincent C. a d’abord été interrogé sur sa personnalité et il a été très ému en évoquant la mort brutale de son arrière-grand-mère, devant ses yeux d’enfant de 8 ans. Après, il a été interrogé sur le fond. ,lui a demandé le président Roger Arata. , a-t-il répondu.

Le site Coco.fr, pour Vincent C., c’était surtout le samedi soir, quand il rentrait chez lui après la fermeture du bistrot de son village. Avec Dominique Pelicot, dit-il, Ça tombait bien,Vincent C. habitait Et puis, dit-il, il n’avait pas eu beaucoup de choix : Gisèle Pelicot se lève et quitte la salle d’audience, en compagnie de la psychologue qui l’assiste tout au long des débats.

La suite figure dans les fichiers de Dominique Pelicot. Dans le premier : ,,.Dans le second, trois mois plus tard, ,.

« Où est-ce que j’ai atterri ? »

Interrogatoire du président.

« 

Il précise sa pensée :

A Me Antoine Camus, l’un des deux avocats de Gisèle Pélicot, qui lui demande de préciser ce qu’il entend par : l’accusé explique qu’il reconnaît les , mais pas les , Vincent C. ajoute :

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